lunes, 11 de enero de 2016

SIN TÍTULO

Se ha muerto David Bowie. El cáncer, que cuando viene airado, todo lo pasa de claro con su flecha..., y, como soy más raro que la calentura, vaya usted a saber porqué no se me va de la cabeza en todo el día una canción de Maxime Le Forestier:



Comme un arbre dans la ville
je suis né dans le béton
coincé entre deux maisons
sans abri sans domicile
comme un arbre dans la ville.

Comme un arbre dans la ville
j'ai grandi loin des futaies
où mes frères des forêts
ont fondé une famille
comme un arbre dans la ville

Entre béton et bitume
pour pousser je me débats
mais mes branches volent bas
si près des autos qui fument
entre béton et bitume

Comme un arbre dans la ville
J'ai la fumée des usines
Pour prison, et mes racines
On les recouvre de grilles
Comme un arbre dans la ville

Comme un arbre dans la ville
J'ai des chansons sur mes feuilles
Qui s'envoleront sous l'
il
De vos fenêtres serviles
Comme un arbre dans la ville

Entre béton et bitume
On m'arrachera des rues
Pour bâtir où j'ai vécu
Des parkings d'honneur posthume
Entre béton et bitume

Comme un arbre dans la ville
Ami, fais après ma mort
Barricades de mon corps
Et du feu de mes brindilles
Comme un arbre dans la ville

Tal vez sea porque siempre he sido más de Freddy Mercury..., tal vez sea porque en algo creo parecerme, loin des futaies, entre béton et bitume, a un árbol de ciudad.

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